Publié le 21 novembre 2016
Depuis le dévoilement du Plan d’action appuyant la Politique québécoise de gestion des matières résiduelles, la récupération des matières organiques est devenue un sujet d’actualité. L’annonce du bannissement de l’élimination des matières organiques d’ici 2020 pousse les générateurs (surtout les plus importants) à se préparer à mettre en place un système de récupération.
Pour la majorité des générateurs, récupérer les matières organiques signifie aussi avoir un contrat de collecte avec un entrepreneur pour le transport et le traitement des matières.
Toutefois, la collecte des matières organiques est une activité relativement récente. De ce fait, le nombre limité d’expériences fait en sorte que les générateurs (municipaux ou privés) ont peu de points de référence pour élaborer des devis qui soient adéquats, complets et équitables, tant pour eux-mêmes que pour les entrepreneurs.
Quelles clauses sont essentielles pour garantir un service de collecte adapté et de qualité à un coût raisonnable ? Quels paramètres peuvent influencer les taux de performance et les coûts ? Y a-t-il des éléments pouvant favoriser la compétitivité auprès des soumissionnaires ?
À moins de cinq (5) ans de la date proposée pour le bannissement de l’élimination des matières organiques, et en considérant les nombreux projets d’implantation d’installations de traitement de ces matières, RECYC-QUÉBEC a fait appel à NI Corporation afin de recenser, analyser et proposer les meilleures pratiques d’appel d’offres pour la collecte et le traitement des matières organiques.
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