Publié le 12 janvier 2023
Les pratiques de relocation préventive et d’expropriation sont susceptibles de perturber la vie quotidienne et le milieu de vie des personnes affectées. L’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) a récemment publié un feuillet d’information sur la question.
S’adressant aux professionnels et aux médecins-conseils des directions de santé publique qui ont des mandats en évaluation environnementale et en aménagement du territoire, ainsi qu’à l’ensemble des organismes gouvernementaux et initiateurs de projets, ce document propose des pistes concrètes issues de la littérature visant à atténuer les effets néfastes de ces pratiques, voire d’en bonifier les impacts positifs.
Ce feuillet est issu de la recension des écrits Examen des pratiques de relocalisations et d’expropriations domiciliaires et de leurs impacts d’un point de vue de santé publique.
Mandatée et financée par le ministère de la Santé et des Services sociaux, cette recension des écrits a été effectuée pour étudier les effets sociaux et psychologiques potentiels associés à l’annonce et aux processus de relocalisation préventive et d’expropriation. Elle visait également à dégager les meilleures pratiques (s’il y a lieu) entourant ces programmes afin d’atténuer ou d’éviter des impacts négatifs et de bonifier des impacts positifs.
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