Publié le 7 décembre 2022
Cette semaine, deux axes d’intervention différents pour améliorer son milieu : par la prévention des comportements et de la criminalité par l’aménagement et par une meilleure compréhension des réalités autochtones d’aujourd’hui. En addition, pour les personnes élues et leur personnel, la formation obligatoire en éthique et déontologie.
Est-il possible, par l’aménagement du milieu, d’orienter les comportements des gens en favorisant les comportements attendus et en dissuadant, voire même éliminer, les comportements indésirables? C’est l’approche Prévention des comportements et de la criminalité par l’aménagement du milieu (PCAM). Souvent, des éléments de sécurité doivent être déployés après la conception d’un édifice ou d’un site. Cependant, PCAM permet de concevoir des sites beaucoup plus adaptés et sécuritaires, améliorant du même coup l’utilisation de l’espace tout en réduisant les dépenses de sécurité. Cette activité de formation met en avant une approche innovante dans les réflexions d’aménagement.
Resituer son rôle et ses responsabilités – Éthique et déontologie
NOUVELLE DATE EN SOIRÉE !
Une formation pour permettre aux personnes élues et réélues de répondre aux nouvelles exigences et se conformer à l’article 15 de la Loi sur l’éthique et la déontologie en matière municipale de la Commission municipale du Québec (CMQ).
Cette formation est entièrement proposée en virtuel et répartie en deux temps pour répondre aux besoins de flexibilité des personnes élues : l’autoformation individuelle, au moment qui vous convient, complétée par et classe virtuelle en direct avec un juriste expert du monde municipal.
NOUVEAUTÉ !
La formation PIWASEHA a été développée par le service de la formation continue de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue. Cette version adaptée à la réalité municipale vous est offerte en partenariat avec cette institution d’enseignement.
Elle vise une meilleure compréhension du passé et des réalités autochtones d’aujourd’hui et favorise la prise de conscience des différents obstacles qui nuisent à la communication et aux relations avec les Autochtones. Dans une version adaptée à la réalité des municipalités, elle permettra aux personnes participantes de mieux intervenir et de démonter des comportements d’ouverture et d’acceptation quant aux différences culturelles.
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